Tous les ans, pendant la période du carême catholique (avant Pâque), des réunionnais s’offrent un plaisir culinaire.
A la Réunion le fin du fin pour beaucoup ce sont les larves de guêpe.
Les guêpes se chassent par la technique de l’enfumage, certains utilisent une branche avec un tissu au bout, d’autres utilisent le mat du choca sec. Donc une fois le nid enfumé, les guêpes fuient, il ne reste au chasseur qu’à récupérer le nid avec les larves.
Elles se dégustent frites ou en rougail avec le riz.
Le kilo de guêpes se vend jusqu’à 200 euros. A ce prix là, j’opte pour le petit rougail avec les larves qui viennent des nids perchés sur les branches du murier du fond de mon jardin.
Miam miam
choka sec = Un branch « kader » pour les connaisseur 🙂 Et oui je suis d’accord avec le 1er post!! Miam miam ! ! ! !
Messieurs bonjour!
Je suis tout a fait d’accord avec sur le fait que c’est un regal de manger ces larves directement « ceuillient » dans un caro can’ mais est ce vraiment ce qu’il y a de mieux à faire de nos jours?
Le probleme c’est que lorsque nous nous faisons plaisir en chassant ces petites betes de leurs nids est ce que nous ne participons pas directement ou indirectement à la destructions de cette insecte ( si cela en est un?)? Car en plus de l’agriculture abusive qui a peu de scrupule de semer ces engrais et ces pesticides partout dans les champs ainsi que les produits que l’on à sulfaté partout à cause du chik ( ce qui était nécessaire, j’en convient), le braconnage de l’homme pour la vente de ces nids tant convoités me ramène à me poser cette question: Les enfants de mes enfants sauront ils ce que c’est qu’un rougail guepes?
Bon je finis avec mon pessimise chronique mais je pense que nous sommes en droit et meme en devoir de reflechir sur l’avenir de notre planete a toutes les echelles possibles.
A bon entendeur j’espere vous avoir fait méditer quelques minutes sur le sujet et qui sait, peut etre passerez vous le message autour de vous. Et si ce sujet vous touche plus ou moins je vous invite a regarder « home » le film documentaire de Yann arthus Bertrand.
Sur ceux à bientot!
P.S: « nous empreintons la terre de nos enfants » ne l’oublions pas.
mr SYLVANO: avant d’essayer de faire de la prose moralisatrice et terre à terre écologique,vous feriez mieux d’apprendre à écrire correctement le français
quelle horreur !!