C’est en 2002 que j’ai commencé mes recherches afin de réaliser mon arbre généalogique. Je me suis rendue dans les mairies, dans les cimetières, aux Archives Départementales de la Réunion, sur internet.
En 2005, j’ai freiné mes recherches et à cette période je buttais sur certains de mes ascendants. Pour moi c’était frustrant car je n’arrivais et je n’arrive toujours pas à remonter vers la fin des années 1700 et début des années 1800 dans certains cas.
Cette semaine j’ai eu de l’espoir, une belle lueur d’espoir, j’ai pu remonter jusqu’à 1645. J’ai fait un bon entre 1846 à 1645. Merci à internet !
J’ai pu remonter aussi loin car c’est une branche où il n’apparaît pas d’anciens esclaves.
Pour la petite histoire, au moment où il était affranchi l’esclave se voyait attribuer un patronyme. Mon nom de famille n’est autre qu’un nom qu’on a attribué à un esclave. C’est comme Armand (né en 1818), affranchi en 1848 et par la même occasion a hérité de son nom de famille. Je ne connais que le prénom de sa mère. En ce qui concerne les parents de celle-ci, il est impossible pour moi de faire des recherches dessus. Donc une partie de ma branche paternelle s’arrête avec Sophie, la mère d’Armand. Autant vous dire que cette branche est bien petite sur mon arbre.
Lorsque je lis les anciens actes de mariage, j’ai l’impression d’y être, je vois l’officier d’état civil avec sa plume, les époux, les témoins, les familles. Dans les actes manuscrits, on peut apprendre quels étaient les surnoms des uns et des autres, les quartiers, les lieux-dits où ont vécu nos ascendants, par exemple Cimendef à Salazie. Et comme j’ai une grande imagination, je me mets à rêver de ce qu’a dû être la vie de chacun.
j´espere que je serai aussi chanceuse que vous dans mes recherches. Je dois, malheureusement, tout recommancer car je ne retrouve plus les certificats de naissance. J´avais remonté jusqu´en 1854. En tout cas, je peux ressentir que vous partagez la meme envie que moi de savoir comment ils ont vécu.
Vassanta,
Voici un site qui va t’aider à mettre la main sur d’anciens actes et pourquoi pas te faire avancer dans tes recherches : Archives nationales